Message du 11 avril 2020 – Continuité pédagogique et Examens en distanciel

Attention : Seules les informations figurant sur cette page sont attestées. Les rumeurs circulant par ailleurs, quelle que soit leurs sources, réelles ou supposées, n’ont aucun fondement et ne méritent aucun crédit.

Chers étudiants et étudiantes,

1. Le calendrier universitaire qui avait été fixé avant la survenance de la crise du coronavirus actuelle prévoyait que nous soyons en vacances pour deux semaines à compter d’aujourd’hui. Les retards liés au confinement et les difficultés techniques dues à l’éloignement n’ont pas permis que l’ensemble des enseignements et des évaluations de contrôle continu soit achevé.

Toute l’équipe pédagogique a à cœur de préserver autant que faire se peut ce temps d’interruption et de respiration, car nous en avons tous besoin. Il reste qu’il n’est pas possible de terminer aujourd’hui la continuité pédagogique, qui va donc se poursuivre. Je vous demande d’accueillir avec la meilleure bienveillance les efforts de vos enseignants qui vont continuer leurs enseignements et vos évaluations dans le cadre des travaux dirigés pendant un temps qui aurait dû être, pour eux aussi, de congé.

Dans les circonstances troublées actuelles, chacun fait de son mieux – chacun, c’est-à-dire, enseignants comme étudiants. Notre seule préoccupation est de vous permettre d’obtenir vos diplômes dans des conditions de valorisation et de crédibilité les meilleures possibles. Il n’est ainsi pas raisonnable de s’accrocher coûte que coûte à un calendrier qui ne cadre plus avec la situation que nous vivons.

C’est vrai aussi pour les examens du second semestre. Ils devaient commencer en notre faculté à partir du 27 avril. Ce ne sera pas le cas. Le calendrier n’est pas fixé de manière certaine, mais les examens devraient effectivement commencer dans la première quinzaine de mai. Ne vous inquiétez pas, vous serez prévenus bien à l’avance, et ne serez pas mis au pied du mur.

Aussi même si le temps qui aurait dû être celui des vacances sera partiellement sollicité pour la poursuite de la continuité pédagogique, vous aurez assurément du temps tranquille, libre et disponible pour vos révisions avant que la première session du second semestre ne commence.

2. Cette session aura lieu en distanciel. Vous travaillerez donc depuis chez vous, ce qui suppose que vous ayez le matériel, idéalement un ordinateur, possiblement une tablette avec clavier, et une connexion internet fiable. Comme indiqué sur dans le message précédent, si vous êtes en difficulté, je vous invite à envoyer un mail à la cellule Covid-19 que le président Sadok a mis en place. Elle est joignable en écrivant à bureau-covid19@univ-littoral.fr.

Les examens en distanciel se dérouleront sur la plateforme Sakaï. Je vous invite à tester dès à présent que vous parvenez à y accéder sans difficulté. En cas de problème, l’assistance technique de Sakaï est joignable en écrivant à assistance-sakai@univ-littoral.fr.

Un espace Sakaï est en cours de configuration avec des examens fictifs. Vous serez notifié sur votre messagerie ULCO quand vous y aurez accès. Il vous permettra de voir dès à présent à quoi ressemble l’environnement de travail ou sous quelles formes possibles se présenteront les examens que vous devrez passer.

3. La session 2, pour les deux semestres, est reportée à une date (sans doute bien) ultérieure. Elle se déroulera en présentiel dans les formes prévues par le règlement des études initial.

4. Comme il est de rigueur, il vous est rappelé que les informations figurant sur cette page sont données en l’état actuel des choses, et valent jusqu’à une éventuelle communication ultérieure contradictoire et qu’elle remplace et annule toutes les communications antérieures qu’elle contredit.

Je vous rappelle aussi que les informations figurant sur cette page valent pour la faculté de droit et ne concernent pas les autres composantes de l’ULCO. Des aménagements purement techniques peuvent s’appliquer spécifiquement pour nos étudiants délocalisés à l’ESDHEM et à SKEMA.

Portez-vous bien, ainsi que ceux qui vous sont chers.

Franck Waserman